KAWS
aka Brian DONNELLY
American artist
Born in 1974 in Jersey-City

Kaws comes from the graffiti scene: he used to spray/scratch his name in giant letters on the walls of New York, sometimes adding a drawing that has now become his signature, namely a “skully” (a kind of pirate skull).
After getting a key from another graffiti artist, giving him access to bus shelters, Kaws had fun with a lot of commercials, introducing another creation, namely a “bendy”, which is a kind of giant spermatozoon.

His time with the Walt Disney Company in 1996 was crucial in defining his definite style where references to Mickey or other Walt Disney characters are clearly present. But his sources of inspiration are various, among them Keith Haring, Andy Warhol, Jeff Koons and especially Takashi Murakami, to whom he feels very close.

Kaws then creates his first designer toy (now called art toy) in Japan, which is only the beginning of many other toys / sculptures to come. This will be known as his series of Chums (a kind of Bibendum Michelin in different colours), a variation of Hello Kitty or an Astroboy, one of Japan’s emblematic characters created by Osamu Tezuka in the 1950s.

Inspired by Keith Haring’s pop-shops, Kaws will then design variations of  his bestiary in the form of sneakers, t-shirts, scarves, and from 2008 on also keychains, ashtrays etc.

A first serious of paintings of modest size (40x40 cm) distorts the imagery of the Simpsons (now the Kimpsons). It is now available on very large canvases that are snapped up by collectors around the world.
His iconic characters in giant versions (steel or wood) are equally popular and can be found in major international capitals:

> London (his “small lie” in Regent Park in 2014)
> Hong Kong (a 37meter “companion” was floating in Hong Kong Bay)
> or more recently Doha in Qatar (“small link” within the airport)

or recently in Melbourne with his “Kaws's gone” in front of the National Gallery of Victoria.

KAWS
alias Brian DONNELLY
Artiste américain
Né en 1974 à Jersey-City

Kaws est issu de la scène graffiti : il avait pour habitude de grapher son nom en lettres géantes sur les murs de NY en y ajoutant parfois un dessin qui est désormais sa signature à savoir un skully (une sorte de crâne de pirate). Après avoir récupéré une clé auprès d’un autre graffeur lui permettant d’accéder aux “abribus”, Kaws s’est alors amusé à détourner de nombreuses publicités en les affublant
d’une autre création de son bestiaire à savoir un bendy, une sorte de spermatozoïde géant.

Son passage au sein de la Walt Disney Company en 1996 a été déterminant et lui a permis de définir un style bien à lui où les références à Mickey ou aux mains des personnages de Walt Disney sont clairement présentes. Mais ses sources d’inspiration sont multiples : Keith Haring
(cf ci-dessous), Andy Warhol mais aussi Jeff Koons et surtout Takashi Murakami dont il es très proche.

Kaws crée ensuite son premier designer toy (qu’on appelle désormais art toy) au Japon et enchaine la création de ce type de jouets / sculptures. Ce sera la série des Chums (sorte de Bibendum Michelin déclinés en rouge, jaune, transparent …) , d’une déclinaison d’ Hello Kitty ou encore d’un Astroboy, personnage emblématique du Japon créé par Osamu Tezuka dans les années 50…

Kaws, sur le modèle de Keith Haring avec ses pop-shops, va ensuite décliner son bestiaire sous forme de baskets, T-shirts , écharpes mais ausis à partir de 2008 en porte-clés, cendriers etc

Sa peinture au départ de dimension modeste (ses premiers tableaux étaient tous de dimension modeste (40x40) et détournaient l’imagerie des Simpsons) se décline désormais sur des toiles de très grande taille qu s’arrachent les collectionneurs du monde entier. Tout comme ses personnages emblématiques dont on retrouve des versions géantes (en acier ou en bois) dans les grandes capitales internationales :
> Londres (son small lie dans Regent Park en 2014)
> Hong-Kong (un companion de 37m flottait dans la baie de Hong-Kong)
> ou plus récemment à Doha au Qatar (son small lie au sein de l’aéroport)
ou à Melbourne avec son Kaws’s gone devant la National Gallery of Victoria